Le gout de tester les limites

Discuter, bavarder de tout ce qui ne concerne pas l'ésotérisme, la voyance...

par Kays. » Mer 23 Nov 2011, 19:36

La semaine dernière, j'ai été prise sur le fait en train de faire une gaffe. Heureusement, je m'en suis tirée avec aucune conséquences. Le problème est que maintenant, j'ai envie de re-faire cette gaffe, de jouer avec les limites, de voir jusqu'ou ca peut aller et je sais que si je me fais prendre une autre fois, c'est clair que cette fois ci, j'aurais des conséquences. Etes-vous comme ca vous aussi? Avez-vous une envie de jouer avec le feu parfois? On dirait que je n'ai pas assez froid aux yeux, que rien ne m'effraie suffisamment. J'ai plus tendance a essayer de me mettre moi-même dans des beaux draps plutot que de menacer la sécurité ou le bien-être des autres. Je me "sabotte" en d'autres mots


PS : Ce n'est pas une gaffe dramatique mais je préfère garder pour moi ce que j'ai fait
Kays.
 

par lise » Mer 23 Nov 2011, 20:47

Bonsoir,

je pense que c'est la jeunesse qui fait ce comportement.

Avec l'age et la maturité, on pense et agit de façon différente.
Je pense que des actes ont des conséquences parfois dramatiques et irréversibles. Et qu'il faut se poser la question : "vais-je assumer cela, après l'avoir fait ? quelles seront les conséquences pour moi ?"

Quand on vieillit on devient plus mature.
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par briséis » Mer 23 Nov 2011, 21:14

pas sure que ce soit la jeunesse..le gout de la provocation n'est pas forcément dû à l'âge ! les conduites d'échec se retrouvent tte la vie...et la provocation peut être une forme de conduite d'échec menée par une colère latente et un besoin d'auto-destruction (svt inconscient...bien sur ! voire refoulé...donc les "c'est pas vrai", ça compte pas :wink: :mrgreen: ) plus ou moins intense, exprimé selon les personnes.

tu disais avoir suivi de nbreuses thérapies, n'as-tu pas abordé ce point avec ta psy ? :idea:
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par Kays. » Mer 23 Nov 2011, 21:58

Merci pour vos réponses,

je ne pense pas que ca ait un lien avec mon âge ou ma soi disant maturité parce que je ne me considère pas comme une personne spécifiquement immature ou jeune d'esprit. Je pense que briséis touche un peu plus dans le mile. Et pour te répondre briséis, non, je n'ai pas abordé ce point en thérapie parce que c'est un nouvel aspect que j'ai développé et que je commence a peine a remarquer chez moi.

EDIT : J'ai décidé de recontacter ce centre ou j'étais suivie par un travailleur social. Je n'y suis pas allée depuis le mois de mars, parce que j'avais l'impression d'avoir fait le tour de tout ce que je devais voir chez moi (J'ai commencé a voir ces spécialistes a l'age de 12 ans) et aussi parce que je ne me sentais pas a l'aise avec le nouveau travailleur social que l'on m'a imposée parce que j'étais devenue majeure et que je devais changer de département...Je les ai laissé un message disant que je voudrais bien que l'on réouvre mon dossier mais que je souhaitais avoir un nouveau travailleur social, une femme si possible, j'attends leur réponse... Peut-etre que j'ai encore besoin de support après tout...
Kays.
 

par adsodemelk » Mar 29 Nov 2011, 21:23

Être parents, d'un jeune qui a joué avec ses limites et les limites de la vie, je ne le souhaite à personne. Nous avons donné et heureusement pour lui, cela a cessé avec l'âge. Cette période fut longue 14 ans -18 ans. Tiens comme la guerre :stock: en même temps par moment s'en fut une.
Chercher le bonheur en dehors de nous, c'est comme attendre le soleil dans une grotte orientée au nord. Adage Tibétain
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