énigme 24-2011 - résolue

Des entraînements, des exercices pour développer vos dons !

par théodore » Mar 15 Nov 2011, 18:11

Je vous propose de me dire qui est cette personne et tout ce que vous ressentez. Ceux qui savent se taisent s'il vous plait !

Image

Le jeu est simple :
essayer de trouver la solution en utilisant la symbolique de ses cartes, de ses flashs, des questions posées au pendule...
La solution doit toujours se trouver dans le passé.
Je vous laisse 10 jours pour faire votre ou vos exercices. Si vous avez plusieurs tarots, par exemple, vous pouvez les utiliser l'un après l'autre pour avoir des précisions quant au lieu, à l'époque, la saison, la cause de l'événement.

évitez de lire les propositions des autres avant de répondre, cela induit souvent en erreur c'est moins drôle surtout !
Ce qui serait intéressant également serait de nous expliquer votre façon de tirer vos cartes (3 cartes, en croix, 5,7,9 ... cartes) et de nous expliquer les associations de cartes, à quoi cela vous fait penser, d'utiliser en plus vos ressentis, vos émotions face à vos tarots. Si vous préférez utiliser vos flashs, pas de soucis, ça serait super de "voir" les images que vous percevez.

Pendant ces 10 jours, je ne donnerai aucun indice, ne donnerai aucune réponse à la moindre question pour ne pas influencer les uns ou les autres. Je ne donnerai la solution que dans 10 jours et ferai un retour à chacun(e) de celles et ceux qui auront tenté de trouver l'événement.

Il n'y a rien à gagner, que le plaisir de manipuler ses tarots, son pendule ou exercer ses flashs et de s'exercer, alors n'hésitez pas, sortez vos supports et lancez vous ! N'ayez pas peur, ne soyez pas timide !
Dernière édition par théodore le Jeu 01 Déc 2011, 14:24, édité 1 fois.
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par vincianej » Mer 16 Nov 2011, 22:46

Ah mince! Je n'ai pas pu faire l'énigme 23, et là je sais qui c'est... :(

Sans rien poster ici, je vais quand même faire un tirage, pour travailler mon "objectivité".
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par théodore » Jeu 17 Nov 2011, 08:44

c'est une super idée Vinciane ! c'est bien de jouer le jeu :D
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par adsodemelk » Jeu 17 Nov 2011, 21:37

YYYEEESSSSSSS Je vais pouvoir y participer :sauter: :sauter: Merci Théodore :fullamour:
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par Aurelan » Jeu 17 Nov 2011, 22:20

je dirais peut-être une jeune femme d'un certain standing ayant fait des recherches au niveau médical. annees : entre 1830 - 1850, certaine tristesse mais une détermination quand même avec un but très précis.
Voilà ce que je ressens mais je suis persuadée d'être à côté de la plaque ...hi hi pas grave j'aurais au moins essayé :D Vivement que je m'achète mon pendule lol !! en tous les cas merci Théodore.
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par théodore » Ven 18 Nov 2011, 09:01

vincianej a écrit:Ah mince! Je n'ai pas pu faire l'énigme 23, et là je sais qui c'est... :(

Sans rien poster ici, je vais quand même faire un tirage, pour travailler mon "objectivité".


je reprends ton message. si tu veux, envoie moi ton tirage et ton interprétation par MP et après le délai de réponse, au moment de la réponse et des retours, j'inclurai ce que tu m'as posté.

merci Aurelan pour ta participation :D
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par adsodemelk » Dim 20 Nov 2011, 17:57

Voici mon tirage :
1. Protection 28
2. Delta 3
3. Nadir 8
4. Adversaire 49
5. Frères 56

Personne équilibrée, stable, sensible, intuitive, assez psychologue. Très disponible et à l'écoute des autres. Bienveillante et protectrice, fidèle en amitié et amour. Elle a eu des tendances homosexuelles. On peut compter sur elle. Personne clairvoyante et attirée par la spiritualité avec peut-être des dons de guérison. Profonde et sincère. Sa vie a été basée sur l'amitié et a peut-être vécue en confrérie. Son entourage l'a aidée à se sortir des périls qu'elle a rencontrés. Un moment de sa vie, elle s'est sentie seule face aux problèmes subis. Elle a eu des échecs importants et des problèmes financiers, en plus de se retrouver en conflit avec la société de l'époque où elle vivait. Des personnes importantes lui ont porté ombrage, ont voulu sa fin, peut-être son anéantissement. Elle a été victime d'abus et la société lui a tourné le dos. Elle a été accusée à tort, considérée comme une "anormale", "excentrique" voire "sorcière". A peut-être été mise en justice.

Voilà, c'est tout pour le moment. Si quelque chose me vient, je complèterai. Merci Théodore.
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par théodore » Dim 20 Nov 2011, 18:50

merci Adso :D
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par happymoon » Ven 25 Nov 2011, 16:37

Coucou

Alors pour une fois je ne vois qu'une image : un ange souriant dans un champ avec des fleurs ! Alors je dirais qu'elle est au Paradis (en même temps ça sembl logique) mais peut être est elle partie trop tôt ? En tout cas je n'ai senti que de la bonté et de l'apaisement.

A bientôt !
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par lacleop » Mar 29 Nov 2011, 02:10

Bonsoir,

Je me lance...
Personne d'origine étrangère (pays froid ou humide), reconnue pour son caractère et/ou autorité... a connu ses parents mais n'a pas été élevée par eux (par manque de temps). Pas de destin tragique, bien au contraire, personne qui dure et perdure dans le temps... a laissé une grande trace encore "visible" aujourd'hui. Beaucoup de livres, lecture, écriture autours d'elle et de nombreuses signatures... Sens de double personnalité, celle qu'il faut montrer officiellement et une autre en privé.
Voilà.... même si je me suis trompée, j'attends la réponse avec impatience. :wink:
Bonne nuit à tous.
K.
Tout juste arrivé(e)
 
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par théodore » Mar 29 Nov 2011, 09:19

merci Happymoon et la cleop... réponse dans quelques jours. :D
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 13:48

bonjour et merci d'avoir participé à cette énigme !

bon, c'était une énigme qui me semblait très facile, vu que la personne est super méga connue, mais pas forcément cette photo :lol: :lol: :lol:

donc, pour devancer les chaînes de télé qui adorent nous rediffuser certains films chaque année pendant les fêtes de fin d'année... je suis contente de lancer le feu :mdr: :mdr: :mdr:

vous avez deviné qui c'est ??? vous avez le choix : Angélique marquise des anges, le petit baigneur, ou... mince, j'ai oublié son nom ! ah oui.......... Sissi !!!

et oui, bingo ! c'est bien une photo de la plus célèbre impératice d'Autriche-Hongrie que voilà... petit résumé de ce que fut sa vie, magnifiée par la sublime Romy Schneider.

Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach (24 décembre 1837 à Munich - 10 septembre 1898 à Genève), née duchesse en Bavière, épousa l’empereur François-Joseph Ier et fut impératrice d’Autriche (1854–1898) et reine couronnée de Hongrie (1867–1898). Elle est universellement connue sous le surnom de Sissi.

Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, dite Sissi ou Sisi comme elle signait parfois, naît le dimanche 24 décembre 1837 à 22h43 précisément dans le palais de la Ludwigstrasse à Munich, résidence hivernale de ses parents. Le nourrisson a déjà une dent.

Sisi est le quatrième enfant et la deuxième fille du duc Maximilien en Bavière et de la duchesse Ludovica de Bavière. Le duc, couramment appelé "Max", est le chef de la branche cadette des Wittelsbach à qui ne sera accordée qu'en 1845 le prédicat d'"Altesse Royale". La duchesse née Ludovica de Bavière est la benjamine des filles du roi Maximilien Ier Joseph de Bavière et de sa seconde épouse née Caroline de Bade.

Leur mariage était au sens le plus strict un mariage dynastique servant à réconcilier les branches aînées et cadettes de la Maison de Wittelsbach. Les deux époux n'avaient aucun goût en commun. La duchesse, dont les sœurs avaient contracté des unions brillantes, était une princesse des plus conformistes et était éprise de l'ex-roi Michel Ier de Portugal, elle avait vécu son mariage avec un "cadet" comme une humiliation. Le mariage de ses filles fut, pour elle, une revanche sur le destin. Le duc Maximilien se révéla un époux excentrique et volage. Grand voyageur, il délaissait très souvent sa femme et ses enfants, allant jusqu'à jouer de la cithare en haut de la pyramide de Khéops. De plus, il ne se cachait pas d'avoir d'autres enfants naturels, et le seul horaire qu'il respectât était le déjeuner qu'il prenait quotidiennement seul avec ses deux filles naturelles préférées.

Élisabeth grandit l’hiver à Munich et l’été dès que possible à la campagne, au château de Possenhofen,situé sur les rives du Lac de Starnberg. Paradoxalemant, malgré les ambitions matrimoniales de sa mère pour ses filles, Sisi, comme ses frères et sœurs, est élevée sans contrainte ni manières. Elle est passionnée d’équitation, de poésie et adore faire de longues promenades en forêt.

A 14 ans , la jeune duchesse s'éprend d'un écuyer de son père nommé Richard et songe à l'épouser. Refusant cet alliance trop peu brillante (le jeune est certes noble mais seulement issu d'une famille comtale), la duchesse Ludovika éloigne le jeune homme qui meurt quelque temps plus tard de la tuberculose. Sissi est désespérée et se confie à son journal dans un poème déchirant.

Pour lui changer les idées, la duchesse qui doit emmener sa fille aînée Hélène en Autriche, décide que Sissi sera du voyage.

Vivant dans une étroite complicité voire sous l'influence de sa mère, l'archiduchesse Sophie,à qui il doit son trône, le jeune empereur avait d'abord demandé la main de la princesse Anne de Prusse. Malgré l'intervention de la reine Elisabeth ,sœur de l'archiduchesse Sophie, la cour de Berlin ne désirant pas s'allier avec sa rivale de Vienne, avait refusé cet honneur. l'archiduchesse s'était alors tourné vers la Saxe mais la princesse Sidonie n'eut pas l'heur de plaire à son impérial cousin. L'archiduchesse se tourna en troisième choix vers la Bavière, troisième puissance Allemande et avait choisi l'aînée de ses nièces, la duchesse Hélène en Bavière, âgée de 19 ans.

Les fiançailles doivent être célèbrés le 18 août 1853, dans la résidence impériale d’été d'Ischl, à l'occasion des fêtes données pour le vingt-troisième anniversaire du souverain Autrichien.

Mais c’est de Sissi que le jeune souverain s'éprend. À la surprise de sa mère, l’autoritaire archiduchesse Sophie, il annonce le 19 août son intention d'épouser la jeune Sissi, à peine âgée de quinze ans et 8 mois.

Le mariage est célébré le 24 avril 1854 à Vienne, en Autriche. Contrairement à la tradition , la nuit de noces n'est pas publiques. Elle se passe d'ailleurs assez mal. Le jeune empereur, habitué à des dames peu farouches et audacieuses, ne sait pas apprivoiser la jeune fille inexpérimentée qu'il avait épousée. La cour est également surprise par cette jeune impératrice qui se laisse aller à ses états d'âmes. Il est vrai qu'à l'époque le rôle d'une souveraine se cantonne à être disponible et soumise à son mari. De plus, la jeune impératrice, habituée aux manières simples de son entourage provincial, supporte mal la pesante étiquette viennoise, et s'enfonce vite dans une profonde dépression.

Les premiers temps du mariage, le couple prend ses quartiers au château de Laxenbourg, aux environs de la capitale. Élisabeth se sent perdue et surveillée par sa belle-mère - une femme intelligente mais dirigiste et traumatisée par la révolution de 1848 - et par son entourage. L'empereur, qui adore pourtant sa femme, est peu présent. La guerre de Crimée vient d'être déclarée. Le jeune empereur est accaparé par les obligations de sa fonction et doit se rendre tous les jours à Vienne, au palais de la Hofburg, ou au palais de Schönbrunn et n'en revient que très tard dans la soirée. Élisabeth, adolescente narcissique, se sent abandonnée. De là proviennent ses premières répugnances pour la vie conjugale. Cependant, elle est rapidement enceinte et donnera naissance à quatre enfants :

- Sophie Frédérique Dorothée Marie Josèphe (1855-1857), Archiduchesse d'Autriche.
- Gisèle Louise Marie (1856-1932), Archiduchesse d'Autriche. Elle épousa (1873) le prince Léopold de Bavière (1846-1930).
- Rodolphe François Charles Joseph (1858-1889), archiduc d'Autriche et prince héritier de l’empire austro-hongrois. Il épousa (1881) la princesse Stéphanie de Belgique (1864-1945).
- Marie Valérie Mathilde Amélie (1868-1924), archiduchesse d'Autriche. Elle épousa (1890) l'archiduc François-Salvator de Habsbourg-Toscane, prince de Toscane (1866-1939).

L'archiduchesse Sophie, trouvant sa nièce de 20 ans trop immature, décida de prendre en charge l'éducation des trois premiers enfants du couple ce qui créa des conflits à répétition. De plus, la mort de Sophie, la première fille d'Élisabeth marqua profondément sa mère. La naissance difficile de Rodolphe par la suite et la culpabilité qui la rongeait n'a rien arrangé entre elle et François-Joseph, ni avec sa belle-mère.

Les relations entre Élisabeth et sa belle-mère (qui est aussi sa tante), l'archiduchesse Sophie, furent souvent orageuses. Bien au-delà du conflit familial traditionnel, il y avait entre elles le fossé de deux visions différentes des devoirs d'une souveraine et de deux conceptions politiques différentes de l'avenir de l'Autriche. Contrairement à la légende, Sophie n'avait pas été déçue du choix d'Élisabeth, surprise certes, mais pas déçue. En femme politique, elle souhaitait une alliance avec la Bavière et l'avait conclue, peu lui importait la personne choisie par son fils. Sur le plan dynastique et diplomatique, une duchesse en Bavière en valait bien une autre, l'essentiel étant de trouver des alliés au sein de la Confédération germanique pour contrer les ambitions du royaume de Prusse.

L'archiduchesse Sophie reprochait à sa belle-fille un tempérament « puéril et égoïste » qui refusait de sacrifier sa vie privée et ses goûts à ses devoirs. Intelligente, sensible et cultivée, ayant sacrifié sa vie, ses ambitions et ses amours à une union certes prestigieuse mais avec un homme sans éclat, Sophie ne pouvait comprendre ni admettre que la jeune impératrice n'aimât pas être une souveraine et surtout qu'elle rechignât à remplir ses devoirs de représentation. De fait,Élisabeth devint rapidement impopulaire tant à la ville qu'à la Cour de Vienne. Elle ne sut réagir que par un mépris affiché pour la capitale autrichienne et ses institutions.

Élisabeth ne souhaitait pas être impératrice, mais elle profita largement des avantages financiers de sa position. Comprenant tout le parti qu'elle pouvait tirer de sa beauté, qu'elle entretenait avec des soins maniaques, elle dépensa sans compter en toilettes, chevaux, équipages et voyages. François-Joseph payait toutes ses dépenses sans jamais lui en faire le reproche. Pour l'encourager à rester proche de la cour tout en respectant son plus cher désir de ne pas se sentir observée, François-Joseph lui avait fait construire la Hermesvilla située à l'ouest de Vienne.

Si sa beauté, qu'elle entretint excessivement une fois qu'elle eut compris qu'elle lui conférait un certain pouvoir, était unanimement admirée et célébrée, ses aptitudes équestres étaient également plus que remarquables. Elle fut considérée comme la meilleure, voire la plus intrépide cavalière de son temps.

En 1860, Élisabeth, 22 ans, souffre d'une toux incessante. On diagnostique une tuberculose et on l'envoie à Madère pour se soigner. En réalité, maladie et faiblesse furent la conséquence de toute une série d'événements qui faisaient souffrir Élisabeth. Il y eut d'abord la mort de sa première fille, la petite Sophie; la culpabilité qui la rongeait, et sa belle-mère qui ne cessait de l'accuser d'avoir tué sa fille; puis la naissance de Rodolphe qui l'avait affaiblie.

C'est à cette époque que François-Joseph part faire la guerre contre Napoléon III et laisse son épouse seule à Vienne. Élisabeth combat son désœuvrement en inaugurant un hôpital au château de Laxenbourg pour soigner les blessés qui reviennent vers la capitale. Elle y passe des journées entières et suscite même l'admiration de sa belle-mère qui pour une fois reconnaît son courage.

Quand elle n'en peut plus des blessés, elle part des journées entières à cheval pour épuiser ses forces. La nuit, elle écrit à son mari, l'implorant de revenir et détrempant le papier par ses larmes. Elle s'est mise à fumer et scandalise la cour. Surtout que beaucoup de jeunes filles se mettent à l'imiter et un drame se produit. Une de ses jeunes cousines, l'archiduchesse Mathilde, promise au prince héritier d'Italie, entendant son père arriver, et voulant cacher sa cigarette dans un des pans de sa robe, mourut brûlée vive en 1867.

Pour célébrer le printemps, Élisabeth organise des bals privés dans ses appartements avec de jeunes couples de petite noblesse, mais elle se lasse très vite. Elle vit la nuit et le jour, épuise ses forces et mange très peu. Aussi, à Vienne il y a maintenant une nouvelle rivale, sa belle-sœur née Charlotte de Belgique, épousée en 1857 par l'archiduc Maximilien. Charlotte est ambitieuse, intrigante, rompue au protocole, fille de roi (quand Elisabeth n'est que petite-fille de roi) et très jalouse d'Élisabeth. De plus, elle sait comment plaire à l'archiduchesse Sophie. Immédiatement Élisabeth et Charlotte se détestent. Surtout qu'à la cour, on murmure que Charlotte est bien plus jolie qu'Élisabeth. C'en est trop, Élisabeth ne sait plus qui elle est, et ne reconnaît même plus son image.

En 1859, après la guerre contre la France et la Sardaigne, l'empereur revient à Vienne, il est défait, il a perdu et dans la foule on crie à l'abdication en faveur de Maximilien. De plus à son retour, tout à changé, il ne reconnait plus sa femme, et s'en éloigne. Il part retrouver les comtesses qu'il voyait avant son mariage pour faire son éducation sexuelle et bien sûr à la cour on ne se gêne pas pour en parler espérant que cela arrive aux oreilles d'Élisabeth. C'est la goutte d'eau qui provoque son mal. Elle se met à tousser et on la croit perdue.

Elle passera quelques mois sur l'Île de Madère, puis on la fera revenir à Vienne, mais, dès son retour, son mal réapparait encore plus fort que lorsqu'elle était partie. On l'emmène à Corfou, croyant qu'elle n'en reviendra pas. Là-bas, les médecins cherchent à soigner son aversion pour Vienne et pour la cour, bien plus que son mal physique. C'est à Corfou qu'elle commencera une collection de photos de femmes en tout genre, afin de l'aider à apprivoiser son image. Elle revient à Vienne après deux ans d'absence. Plus sereine, prête à accepter la cour et le palais qu'elle appelle sa « prison dorée », elle a pourtant envie de voyager de par le monde, ce qu'elle fera très souvent, délaissant mari, devoirs et enfants.

Nonobstant, si Élisabeth n'a pas eu le droit d'éduquer ses trois premiers enfants (la première, Sophie, est morte très jeune), elle a su intervenir quand il le fallait, par exemple pour le choix du précepteur de l'archiduc héritier Rodolphe.

Pour éviter de prendre du poids, Élisabeth s'astreint à la pratique du tightlacing et à consommer uniquement du lait et du bouillon de poulet, des substances très nourrissantes mais absolument répugnantes au palais, mises au point pour combler les besoins alimentaires des ouvriers trop pauvres pour acheter la nourriture normale des marchés. Dans le même but, elle passe beaucoup de temps à la marche forcée, au cheval, une à deux heures chaque matin à la gymnastique (notamment dans des salles d'agrès aménagées dans toutes ses villas avec anneaux, barre fixe et haltères). L'impératrice était tellement obsédée par la peur de grossir - poids maximum de 50 kg pour 1 m 72 - que certains la considèrent a posteriori comme souffrant d'anorexie mentale.

Souffrant de neurasthénie, elle drape ses pièces de noir et les orne de statues cadavériques, exige que ses domestiques portent une livrée noire.

Le 8 juin 1867, Élisabeth, passionnée par la Hongrie, sa langue, le hongrois et son peuple, est couronnée reine de Hongrie aux côtés de son mari. Souveraine aimée, admirée, acclamée, fêtée et adulée par le peuple magyar, qui lui offre le château de Gödöllö qui est situé à une trentaine de kilomètres de Budapest. C'est le seul véritable endroit où elle se sente chez elle. Elle s'y rendra très souvent. Le rôle politique d'Élisabeth dans l'élaboration du Compromis austro-hongrois, sans avoir été déterminant, est incontestable. Au moins dans l'influence qu'elle eut auprès de François-Joseph à surmonter sa répugnance vis-à-vis des Magyars et celle de ces derniers à l'encontre de leur roi. La répression de la révolution hongroise de 1848/1849 avait laissé des traces d'amertume d'autant plus profondes dans les élites et dans le peuple hongrois qu'il avait fallu que François-Joseph, débutant, fasse appel aux troupes russes pour rétablir l'ordre.

La joie éprouvée lors du compromis avec la Hongrie raviva pour une courte période sa relation avec François-Joseph et Sissi revint sur sa décision de ne plus tomber enceinte. Un an après le couronnement, elle donna à Budapest le jour à une fille, Marie-Valérie. Cette couronne de Hongrie et la naissance de cette enfant, pour laquelle elle éprouvera toute sa vie un amour exclusif et oppressant, marqueront un tournant dans la vie d'Elisabeth. Elle s'est enfin imposée. L'archiduchesse Sophie, encore sous le choc de l'exécution de son fils, l'archiduc Maximilien, à Queretaro au Mexique, n'est plus que l'ombre d'elle-même (elle mourra cinq ans plus tard). La confrontation entre les deux femmes est définitivement terminée.

La nouvelle position d'Élisabeth a pour effet de distendre un peu plus les liens qui l'unissent à l'Autriche, et surtout à cette cour impériale qu'elle déteste. Elle s'entoure de dames de compagnie uniquement hongroises, parmi lesquelles Marie Festetics, et Ida Ferenczy. L'impératrice passe de plus en plus de temps à l'étranger en particulier à Gödöllő, et ne rentre à Vienne qu'en de rares occasions. Elle se surnomme elle-même « la mouette des mers ». Elle confie un jour à son fils Rodolphe que si elle devait s'établir au même endroit pour le restant de ses jours « le séjour dans un paradis même lui paraîtrait l'enfer ». À travers ses évasions, c'est elle-même qu'elle fuit, et cette relation conjugale qu' elle ne peut assumer et qui l'étouffe. Au fil des années, les époux ne se retrouvent que rarement. Francois-Joseph en souffre, et Élisabeth, qui culpabilise de ses absences répétées, pousse son époux dans les bras d'une actrice réputée, Katharina Schratt. La relation en restera d'ailleurs au stade de l'amitié mais Francois-Joseph trouvera auprès de « l'amie » - c'est ainsi que le couple impérial désigne Schratt dans ses lettres - l'atmosphère « familiale » qui lui manquait depuis la mort de sa mère en 1872.

Au cours des années, les morts successives de sa fille aînée Sophie (alors âgée de deux ans), de son beau-frère l'empereur Maximilien Ier du Mexique (exécuté sommairement en 1867), celle prématurée de Maximilien, prince de Tours-et-Taxis (mari d'Hélène) la même année, de son cousin le roi Louis II de Bavière, retrouvé noyé dans le lac de Starnberg, de son père le duc Max, de sa mère la duchesse Ludovica de Bavière, de son ami le comte Gyula Andrássy (que d'aucuns ont prétendu à tort être le père de Marie-Valérie), de sa sœur Sophie-Charlotte, duchesse d'Alençon brûlée vive dans le tristement célèbre incendie du Bazar de la Charité et la folie dont est atteinte sa belle-sœur (bien que détestée) Charlotte et qui durera 60 ans, mais surtout la mort restée mystérieuse et entourée d'une atmosphère de scandale de son fils unique l'archiduc Rodolphe à Mayerling en 1889, plongent Élisabeth dans une douleur et une mélancolie indescriptibles. Elle décide de ne plus porter que le deuil (en noir), et n'ayant plus de liens avec la cour de Vienne (sa fille Valérie s'est mariée en 1890), accentue ses voyages à travers l'Europe. Passionnée par la Grèce antique et les héros homériques, elle apprécie particulièrement Corfou, où elle fait construire un magnifique palais de style antique, l'Achilleion. Elle séjournera aussi en 1896-1897 en France à Roquebrune-Cap-Martin, au Grand Hôtel du Cap, près duquel a été érigé un monument à sa mémoire dans le petit « square Sissi »

L'impératrice est atteinte d'anémie. Ne manger parfois que huit oranges par jour est, malgré les vitamines, insuffisant. Elle souffre aussi de névrite, d'insomnie et d'une légère dilatation cardiaque. Le 16 juillet 1898, elle part pour une énième cure. Le 30 août 1898, elle arrive par le train à Munich après un périple en Allemagne avec une suite réduite (son aide de camp le général de Berzeviczy, sa dame de compagnie la comtesse Staray (en), Barker son nouveau lecteur grec, trois dames d'honneur et quelques domestiques). François-Joseph est resté pour fêter son 50e anniversaire d'accession au trône. Le 10 septembre 1898, à l'âge de 60 ans, elle est assassinée à Genève, en sortant de l’hôtel Beau-Rivage, situé face au lac Léman, par Luigi Luccheni dont le seul but était de se faire un nom en accomplissant une action éclatante - comme il le déclarera lors de son interrogatoire dans lequel il affirme n'avoir jamais été anarchiste.

Luccheni voulait assassiner le duc d'Orléans mais celui-ci avait changé son emploi du temps. Il s'est « rabattu » sur l'impératrice. Il attend près de l'hôtel Beau-Rivage où Sissi est descendue. À 13h35, celle-ci sort - incognito comme toujours, sous le nom de Comtesse de Hohenembs - au bras de sa dame de compagnie, Marie Festetics. Passant près du jeune homme, l'impératrice reçoit ce qu'elle croit être un coup de poing et trébuche. Le meurtrier, qui vient de la poignarder au moyen d'une lime (exposée à Vienne dans un musée dédié à l'impératrice), s'échappe mais est arrêté quelques mètres plus loin par des passants. L'impératrice tient quand même à prendre le bateau, ce qu'elle fait avec peine. Le bateau appareille et peu après l'impératrice perd connaissance. En ouvrant son corsage, le médecin observe un infime point rouge au-dessus du sein gauche. Sa dame de compagnie révèle alors le nom de sa maîtresse et le bateau revient à quai. Ramenée dans ses appartements, Sissi décède à 14h40 dans les bras de Fanny Mayer, l'épouse du propriétaire de l'hôtel.

Son corps repose aux côtés des corps des 137 autres membres de la dynastie des Habsbourg-Lorraine, dans la crypte des Capucins, à Vienne.

source : wikipédia
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 13:54

Aurelan a écrit:je dirais peut-être une jeune femme d'un certain standing oui, en effetayant fait des recherches au niveau médical non, mais elle a cotoyé des médecins assez fréquemment. annees : entre 1830 - 1850 exact. sur la photo, elle a 17 ans, donc photo prise vers 1854, certaine tristesse oui elle est réputée pour être une reine mélancolique mais une détermination quand même avec un but très précis but précis, je ne sais pas trop, peut-être celui de fuir la cour de Vienne.
Voilà ce que je ressens mais je suis persuadée d'être à côté de la plaque ...hi hi pas grave j'aurais au moins essayé :D Vivement que je m'achète mon pendule lol !! en tous les cas merci Théodore.


bonjour Aurelan,
merci de ta participation. C'est plutôt pas mal pour un essai, bravo !
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 14:05

adsodemelk a écrit:Voici mon tirage :
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4. Adversaire 49
5. Frères 56

Personne équilibrée bof, pas vraiment... elle avait quand même un grain :lol: :lol: , stable idem, sensible ça oui, très sensible et mélancolique, intuitive, assez psychologue pas certaine que ce soit le très de caractère qui la caractérise le mieux. :roll: . Très disponible oui et non. sa fonction d'impératrice et de reine l'obligeait à faire certaines actions publiques, mais dans ce que je connais, un peu d'elle, c'était plus vrai quand il s'agissait de la Hongrie et à l'écoute des autres elle est souvent décrite comme une femme égoïste. Bienveillante et protectrice oui à l'égard de la Hongrie, fidèle en amitié et amour fidèle, je pense, mais elle est souvent décrite comme quelqu'un qui s'aimait avant d'aimer les autres. Elle a eu des tendances homosexuelles je ne crois pas. On peut compter sur elle les hongrois oui, les viennois non. Personne clairvoyante et attirée par la spiritualité avec peut-être des dons de guérison non, je ne pense pas. mais il y a un rapport avec la médecine puisque c'était une femme malade. Profonde et sincère. Sa vie a été basée sur l'amitié et a peut-être vécue en confrérie non. Son entourage l'a aidée à se sortir des périls qu'elle a rencontrés d'une certaine manière, oui, en la laissant faire des voyages pour fuir Vienne. Un moment de sa vie, elle s'est sentie seule face aux problèmes subis oui. Elle a eu des échecs importants on peut parler d'une certaine forme d'échec concernant son mariage, puis la perte de sa fille aînée, et surtout celle de Rodolpheet des problèmes financiers non, elle avait ce qu'elle voulait, son mari était assez large avec elle, en plus de se retrouver en conflit avec la société de l'époque où elle vivait oui, l'empire autrichien était très strict, et les mécontents étaient nombreux contre l'empereur et sa famille. en plus Sissi n'était pas spécialement appréciée des Viennois. Des personnes importantes lui ont porté ombrage sa belle-mère, sa belle soeur... et surtout son assassin, ont voulu sa fin oui, peut-être son anéantissement oui, elle meurt assassinée. Elle a été victime d'abus et la société lui a tourné le dos oui, on peut dire cela. Elle a été accusée à tort, considérée comme une "anormale", "excentrique" oui voire "sorcière"non je ne crois pas. A peut-être été mise en justice non, je ne crois pas, mais on lui a reproché la mort de sa fille ainée.

Voilà, c'est tout pour le moment. Si quelque chose me vient, je complèterai. Merci Théodore.


merci Adso ! il y a de bons éléments dans ton exercice !
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
Bénévole
 
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par Aurelan » Jeu 01 Déc 2011, 14:08

merci Théodore!! encore un peu de travail à faire mais je persévère et ne désespère pas lol :wink:
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 14:09

happymoon a écrit:Coucou

Alors pour une fois je ne vois qu'une image : un ange souriant dans un champ avec des fleurs ça, c'est une séquance de Sissi face à son destin, quand elle court et se plante dans une descente en bouffant des marguerites :lol: :lol: ! Alors je dirais qu'elle est au Paradis (en même temps ça sembl logique) mais peut être est elle partie trop tôt oui, elle a été assassinée à 60 ans ? En tout cas je n'ai senti que de la bonté et de l'apaisement pour la bonté, je ne sais pas car elle est souvent décrite comme quelqu'un d'égoïste... et pour l'apaisement, pas trop... elle était plutôt malade :toctoc: ...probablement dû à la cosanguinité.

A bientôt !


désolée happymoon, ce n'était pas aussi facile que je ne le pensais.
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 14:14

lacleop a écrit:Bonsoir,

Je me lance...
Personne d'origine étrangère oui, bavaroise de naissance, viennoise par mariage et hongroise par adoption (pays froid ou humide), reconnue pour son caractère et/ou autorité moui, plutôt par son mariage avec l'empereur Frnçois-Joseph... a connu ses parents mais n'a pas été élevée par eux (par manque de temps) oui, elle a connu ses parents. son père n'était jamais présent, et sa mère l'a élevé simplement. Pas de destin tragique si, elle meurt assassinée, bien au contraire, personne qui dure et perdure dans le temps oui en quelque sorte par la légende qui est née de sa vie... a laissé une grande trace encore "visible" aujourd'hui oui, elle conserve pas mal d'admirateurs - except en Autriche où elle n'est pas plus aimée que ça. Beaucoup de livres, lecture, écriture autours d'elle oui, elle écrivait des poèmes très mélancoliques, mais il y a aussi une foison de bouquins et de films sur sa vieet de nombreuses signatures... Sens de double personnalité, celle qu'il faut montrer officiellement et une autre en privé oui, exact ! elle détestait le protocole, et préférait être tranquille dans son chateau en hongrie où elle vivait plus simplement.
Voilà.... même si je me suis trompée, j'attends la réponse avec impatience. :wink:
Bonne nuit à tous.
K.


Bravo ! il y a de très bons éléments !!! Merci de ta participation la cleop :D
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par théodore » Jeu 01 Déc 2011, 14:23

je mets aussi le MP adressé par Vincianej, merci pour ta participation :D

vincianej a écrit:Bonsoir Théodore,

Voici mon tirage

Avec l'oracle des Anges Déchus
1 : Amdusias, harmonie
2 : Glasya Labolas, danger
3 : Phoenix, renaissance
4 : Dantalion, empathie
5 : Murmur, histoire.

C'est une femme intelligente oui, je pense, douée en communication bof, pas tant que ça, porteuse de paix oui, elle a été en faveur de la Hongrie, la paix lui est en grande partie due. Elle a un ou plusieurs projets qui lui tiennent à coeur ses voyages, la hongrie, et sait s'entourer d'amis pour l'aider à les réaliser elle s'entoure principalement de Hongrois. Mais quelqu'un de proche d'elle, qui se fait passer pour un ami, est en fait un ennemi et va la poignarder dans le dos elle se fait poignarder tout court, mais pas par quelqu'un qui se fait passer pour un ami. après j'ai plus l'impression dans ce que j'ai lu d'elle que lorsqu'elle avait un ennemi, c'était dévoilé. Mais suite à cette trahison, elle va décider de donner un nouveau sens à sa vie et se consacrer aux arts, à la musique et à la poésieje dirais plutôt aux voyages et à la poésie.. Il y a un apprentissage de la tolérance et du genre humain, peu importe leurs originesoui, on peut dire cela. Une réconciliation avec des membres de la famille oui en quelque sorte. Mais il y a également des secrets et un passé qui la hantent oui exact.

Avec la Triade
1 : 8, Nadir
2 : 46, Sacrifice
3 : 30, Pardon
4 : 17, Energie
5 : 16, Mutation

C'est une personne fragile et malheureuseoui, exact. Isolée sur le plan affectif oui, mais c'est un peu de sa faute. . Dépressive oui, elle a peut-être fait ou penser régulièrement au suicide je ne sais pas... il y a eu le peut-être suicide de Rodolphe. Elle se sent inférieure malgré tout ce qu'elle fait peut-être, effectivement. Elle est dans une relation où elle n'est pas heureuseoui, peut-être à cause d'un amour du passé auquel elle pense souvent oui, son amour de jeunesse mort loin d'elle.
Elle est attirée par le monde spirituel car elle a besoin de se retrouver elle-même suis pas certaine là..
Les disputes de couple se calment. Il y a une sérénité retrouvée oui, mais c'est pas pour autant que c'est génial. elle met dans les pattes de son mari une maîtresse histoire de satisfaire ses envies sexuelles.
Mais sa vie reste instable oui. Elle se noie dans le travail elle n'est pas vraiment réputée pour être une travailleuse, plutôt une voyageuse infatigable, et une sportive qui s'astreint une discipline de fer, devient hyperactive. Elle néglige ses proches et devient distante exact.
Personne indépendante et versatile oui, certainement.

Difficile d'avoir une interprétation neutre quand on connaît l'histoire. J'ai essayé d'écrire ce que j'aurais écrit si je n'avais rien su. Mais je suis sûre de ne pas avoir été totalement neutre :|


il y a de très bonnes choses, d'autres dont j'ai un gros doute quand même. mais merci à toi d'avoir joué le jeu :wink: :D
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par happymoon » Jeu 01 Déc 2011, 14:37

théodore a écrit:
happymoon a écrit:Coucou

Alors pour une fois je ne vois qu'une image : un ange souriant dans un champ avec des fleurs ça, c'est une séquance de Sissi face à son destin, quand elle court et se plante dans une descente en bouffant des marguerites :lol: :lol: ! Alors je dirais qu'elle est au Paradis (en même temps ça sembl logique) mais peut être est elle partie trop tôt oui, elle a été assassinée à 60 ans ? En tout cas je n'ai senti que de la bonté et de l'apaisement pour la bonté, je ne sais pas car elle est souvent décrite comme quelqu'un d'égoïste... et pour l'apaisement, pas trop... elle était plutôt malade :toctoc: ...probablement dû à la cosanguinité.

A bientôt !


désolée happymoon, ce n'était pas aussi facile que je ne le pensais.


Je n'ai jamais regardé Sissi je dois être une extra terrestre :mrgreen: ! Eh bien ça fait du bien de se planter pour une fois sinon j'aurais fini par croire que j'avais vraiment un don :wink:
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par adsodemelk » Jeu 01 Déc 2011, 22:00

théodore a écrit:
adsodemelk a écrit:Voici mon tirage :
1. Protection 28
2. Delta 3
3. Nadir 8
4. Adversaire 49
5. Frères 56

Personne équilibrée bof, pas vraiment... elle avait quand même un grain :lol: :lol: , stable idem, sensible ça oui, très sensible et mélancolique, intuitive, assez psychologue pas certaine que ce soit le très de caractère qui la caractérise le mieux. :roll: . Très disponible oui et non. sa fonction d'impératrice et de reine l'obligeait à faire certaines actions publiques, mais dans ce que je connais, un peu d'elle, c'était plus vrai quand il s'agissait de la Hongrie et à l'écoute des autres elle est souvent décrite comme une femme égoïste. Bienveillante et protectrice oui à l'égard de la Hongrie, fidèle en amitié et amour fidèle, je pense, mais elle est souvent décrite comme quelqu'un qui s'aimait avant d'aimer les autres. Elle a eu des tendances homosexuelles je ne crois pas. On peut compter sur elle les hongrois oui, les viennois non. Personne clairvoyante et attirée par la spiritualité avec peut-être des dons de guérison non, je ne pense pas. mais il y a un rapport avec la médecine puisque c'était une femme malade. Profonde et sincère. Sa vie a été basée sur l'amitié et a peut-être vécue en confrérie non. Son entourage l'a aidée à se sortir des périls qu'elle a rencontrés d'une certaine manière, oui, en la laissant faire des voyages pour fuir Vienne. Un moment de sa vie, elle s'est sentie seule face aux problèmes subis oui. Elle a eu des échecs importants on peut parler d'une certaine forme d'échec concernant son mariage, puis la perte de sa fille aînée, et surtout celle de Rodolpheet des problèmes financiers non, elle avait ce qu'elle voulait, son mari était assez large avec elle, en plus de se retrouver en conflit avec la société de l'époque où elle vivait oui, l'empire autrichien était très strict, et les mécontents étaient nombreux contre l'empereur et sa famille. en plus Sissi n'était pas spécialement appréciée des Viennois. Des personnes importantes lui ont porté ombrage sa belle-mère, sa belle soeur... et surtout son assassin, ont voulu sa fin oui, peut-être son anéantissement oui, elle meurt assassinée. Elle a été victime d'abus et la société lui a tourné le dos oui, on peut dire cela. Elle a été accusée à tort, considérée comme une "anormale", "excentrique" oui voire "sorcière"non je ne crois pas. A peut-être été mise en justice non, je ne crois pas, mais on lui a reproché la mort de sa fille ainée.

Voilà, c'est tout pour le moment. Si quelque chose me vient, je complèterai. Merci Théodore.


merci Adso ! il y a de bons éléments dans ton exercice !


T'es trop indulgente :calin:. J'ai visité Vienne et Schonbrunn il y a quelques années et je connais un peu l'histoire de cette femme et c'est marrant j'y ai pensé mais cette image ne me disait rien... Je suis grave passé à côté comme disent les jeunes :lol:
Chercher le bonheur en dehors de nous, c'est comme attendre le soleil dans une grotte orientée au nord. Adage Tibétain
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