un nouveau jeu : le poème infini

Discuter, bavarder de tout ce qui ne concerne pas l'ésotérisme, la voyance...

par Cendre2lune » Mer 29 Oct 2008, 14:58

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
La vie ne vaut d'être vécue sans amour.
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par Essentielle » Mer 29 Oct 2008, 15:12

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
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Maintenant que je t'ai trouvé
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par verbre » Mer 29 Oct 2008, 15:32

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ces jours heureux
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rien que du bleu
sans aucun nuage
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dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
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mon coeur saignant
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car d'amour infini
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
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par Essentielle » Mer 29 Oct 2008, 16:21

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par verbre » Mer 29 Oct 2008, 16:24

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par théodore » Mer 29 Oct 2008, 18:59

verbre a écrit:Ici et maintenant
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par toutankhâmon » Mer 29 Oct 2008, 19:05

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par verbre » Mer 29 Oct 2008, 19:18

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par Essentielle » Mer 29 Oct 2008, 20:32

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par verbre » Mer 29 Oct 2008, 21:04

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par Essentielle » Jeu 30 Oct 2008, 12:36

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Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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par menadel » Jeu 30 Oct 2008, 13:36

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
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et nouvelle permanence
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par verbre » Jeu 30 Oct 2008, 13:38

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rien que du bleu
sans aucun nuage
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
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dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
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et nul ne s'éloignera
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par menadel » Jeu 30 Oct 2008, 13:40

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profonde, saignante, béante
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qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
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recherchant ton coeur
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
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tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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sans aucune peur
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par verbre » Jeu 30 Oct 2008, 13:43

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par menadel » Jeu 30 Oct 2008, 13:47

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que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
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par théodore » Jeu 30 Oct 2008, 14:10

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rien que du bleu
sans aucun nuage
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
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aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
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tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
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Même si je me trompe
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car d'amour infini
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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atteignant le rivage
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et l'âme accordée
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sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
Bénévole
 
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par menadel » Jeu 30 Oct 2008, 17:44

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le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
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dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
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je te chérirai
Avec une suave ardeur
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et des milliers de nuits
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et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
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atteignant le rivage
de ton coeur ilien
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par théodore » Jeu 30 Oct 2008, 18:09

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par mystic278 » Jeu 30 Oct 2008, 20:19

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Pourquoi part-il ?
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me parait maintenant futile
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le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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encore une fois cette lueur
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car d'amour infini
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
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dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
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et nul ne s'éloignera
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atteignant le rivage
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rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
Il n'y a pas de problèmes, il n'y a que des solutions .
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par menadel » Jeu 30 Oct 2008, 20:28

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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
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par Essentielle » Jeu 30 Oct 2008, 20:44

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liés, en vie
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me parait maintenant futile
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le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
Sage
 
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par verbre » Jeu 30 Oct 2008, 23:08

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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par théodore » Ven 31 Oct 2008, 14:08

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
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recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
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tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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sans aucune peur
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Rien ne pourra nous séparer
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nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
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dans cet éternel
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sans aucun mensonge
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dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
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Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
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sans nul tabou
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maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par verbre » Ven 31 Oct 2008, 14:13

Ici et maintenant
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liés, en vie
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Pourquoi part-il ?
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me parait maintenant futile
alentour nos yeux
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le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
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par Essentielle » Ven 31 Oct 2008, 15:25

Ici et maintenant
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Pourquoi part-il ?
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rien que du bleu
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Dans tes bras je me réveillerai
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par menadel » Ven 31 Oct 2008, 16:31

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par Aurore 77186 » Ven 31 Oct 2008, 16:46

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pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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Toujours aussi déterminée
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et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
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illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
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seront ensemble entrelacés
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par Essentielle » Ven 31 Oct 2008, 16:55

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
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sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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encore une fois cette lueur
sans aucune peur
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Même si je me trompe
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
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Toujours aussi déterminée
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Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
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atteignant le rivage
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rouge comme un astre
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par théodore » Ven 31 Oct 2008, 16:58

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me parait maintenant futile
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le ciel me parut moins bleu
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
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Je n'y parviens pas
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
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ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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et déployer tes ailes
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sans aucun mensonge
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Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
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Maintenant que je t'ai trouvé
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et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
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illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
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le désir ardent
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et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par verbre » Ven 31 Oct 2008, 18:33

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Pourquoi part-il ?
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me parait maintenant futile
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ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
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qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
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recherchant ton coeur
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
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maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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par théodore » Ven 31 Oct 2008, 18:47

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par verbre » Ven 31 Oct 2008, 23:05

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
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le mystère cependant persiste
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par Essentielle » Sam 01 Nov 2008, 21:49

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
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Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
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à jamais et pour toujours
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atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
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par verbre » Sam 01 Nov 2008, 21:53

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profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
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aucun regard de toi
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
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tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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Dans tes bras je me réveillerai
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par Essentielle » Sam 01 Nov 2008, 21:58

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
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liés, en vie
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Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
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ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
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aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
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tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
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sans aucun mensonge
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que tu as su conserver
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Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
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et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
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atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
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et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
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et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
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par Cendre2lune » Sam 01 Nov 2008, 22:13

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le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
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recherchant ton coeur
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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encore et encore
Ce n'est que le début
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caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
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dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
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par verbre » Sam 01 Nov 2008, 23:43

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me parait maintenant futile
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rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
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là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
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Dans tes bras je me réveillerai
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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Car j'ai tout prévu
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Toujours aussi déterminée
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et nul ne s'éloignera
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les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
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par théodore » Dim 02 Nov 2008, 08:16

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que jamais n'approuve
aucun regard de toi
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sans état d'âme
ni aucun blâme
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encore une fois cette lueur
sans aucune peur
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Même si je me trompe
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Dans tes bras je me réveillerai
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dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
ne cherches plus
vis chaque jour
dans l'instant merveilleux
Profites de la vie
et révèle en toi l'archange
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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par théodore » Dim 02 Nov 2008, 14:57

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
ne cherches plus
vis chaque jour
dans l'instant merveilleux
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et révèle en toi l'archange
qui annoncera la perfection
Ce que l'on sème dans une plaie avant qu'elle ne se ferme donne une fleur captive qui ne meurt jamais.
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par verbre » Dim 02 Nov 2008, 18:12

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
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sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
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à jamais et pour toujours
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rouge comme un astre
le désir ardent
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dévorant nos chairs
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maintenant et à jamais
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seront ensemble entrelacés
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s'arrêtera le temps
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par Essentielle » Lun 03 Nov 2008, 20:36

Ici et maintenant
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ce temps subtil
me parait maintenant futile
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ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
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profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
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aucun regard de toi
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Quand je serrerai ta main
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ni aucun blâme
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tu n'abandonneras pas
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Dans tes bras je me réveillerai
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Et de tes caresses enflammées
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et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
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par verbre » Lun 03 Nov 2008, 22:38

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
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liés, en vie
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Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
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rien que du bleu
sans aucun nuage
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dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
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du bout de mes doigts
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recherchant ton coeur
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et puis demain
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
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Rien ne pourra nous séparer
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
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ivre de tes baisers
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par Essentielle » Lun 03 Nov 2008, 22:44

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
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qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
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du bout de mes doigts
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Quand je serrerai ta main
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
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par Cendre2lune » Lun 03 Nov 2008, 22:46

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
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A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
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par Aurore 77186 » Mar 04 Nov 2008, 11:57

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Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
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et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
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ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
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et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
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de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
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Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
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à conquérir l'amour
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Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
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nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
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à jamais et pour toujours
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le désir ardent
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dévorant nos chairs
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maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
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et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
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par Essentielle » Mar 04 Nov 2008, 13:03

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Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
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mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
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Dans tes bras je me réveillerai
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ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
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Ce n'est que le début
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caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
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mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
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à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
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atteignant le rivage
de ton coeur ilien
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le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
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s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
ne cherches plus
vis chaque jour
dans l'instant merveilleux
Profites de la vie
et révèle en toi l'archange
qui annoncera la perfection
de ta place en ce monde
par tes battements de coeur
et ton sourire exact
Ton corps gracieux
ton teint diaphane
Ta peau délicieuse
Ton regard envoutant
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par verbre » Mar 04 Nov 2008, 15:32

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
ne cherches plus
vis chaque jour
dans l'instant merveilleux
Profites de la vie
et révèle en toi l'archange
qui annoncera la perfection
de ta place en ce monde
par tes battements de coeur
et ton sourire exact
Ton corps gracieux
ton teint diaphane
Ta peau délicieuse
Ton regard envoutant
et ton parfum céleste
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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par verbre » Ven 07 Nov 2008, 14:27

Ici et maintenant
fidèle, la main tenant
le cœur et l'esprit
liés, en vie
d'un homme aigri
Pourquoi part-il ?
ce temps subtil
me parait maintenant futile
alentour nos yeux
ces jours heureux
le ciel me parut moins bleu
rien que du bleu
sans aucun nuage
dans l'éther irrisé
dans les terres aspirées
qu'une douloureuse pensée
profonde, saignante, béante
mon coeur saignant
qui m'émeut m'éprouve
que jamais n'approuve
aucun regard de toi
ni de "je-ne-sais-quoi"
faire avec cela
du bout de mes doigts
Je n'y parviens pas
tu restes en moi
là où je te suis
tu arpentes l'ailleurs
recherchant ton coeur
puits de douceur
et puis demain
Quand je serrerai ta main
dans la clarté
d'une chaude matinée
ouvrant mon âme
sans état d'âme
ni aucun blâme
pour toi je me pâmerai
tu n'abandonneras pas
Tu ne baisseras pas les bras
rien ne s'éteindra
encore une fois cette lueur
sans aucune peur
sera notre rencontre
Même si je me trompe
ému dans mon éternité
Rien ne pourra nous séparer
car d'amour infini
nos jours sont bénis
et brillent nos nuits
Dans tes bras je me réveillerai
les yeux émerveillés
de notre nuit passée
ivre de tes baisers
Et de tes caresses enflammées
A l'aube suivante j'irai encore
Réclamer ton corps
encore et encore
Ce n'est que le début
Car j'ai tout prévu
caresser ton corps nu
sans aucune pudeur
et déployer tes ailes
mon ange frêle
dans cet éternel
arpenter tes songes
sans aucun mensonge
et bénir ta liberté
que tu as su conserver
dans toute sa félicité
Toujours aussi déterminée
à conquérir l'amour
dans l'enchevêtrement de nos âmes
Maintenant que je t'ai trouvé
je te chérirai
Avec une suave ardeur
durant sept vies
et des milliers de nuits
nul ne nous éloignera
et nul ne s'éloignera
de cet intense
et nouvelle permanence
nos vies entremêlées
à jamais et pour toujours
dans l'infinitude des étoiles
illuminant mes rêves
atteignant le rivage
de ton coeur ilien
rouge comme un astre
le désir ardent
et l'âme accordée
dévorant nos chairs
sans nul tabou
les âmes ne font qu'une
maintenant et à jamais
nos corps pour l'éternité
seront ensemble entrelacés
rien pour les séparer
sous ce doux baiser
et dans ce dédale de sentiments
s'arrêtera le temps
tant de temps séparés m'effraie
et ne m'effraiera plus
je suis à jamais
à toi ma dulcinée
A qui je dédie ces quelques vers
et me dévoue corps et âme
pour soulager tes peines
et te révéler Qui tu es
le mystère cependant persiste
dans ton regard inoui
et pourquoi ?
pourquoi sommes nous aussi fusionnels??
Ne te demandes plus
ne cherches plus
vis chaque jour
dans l'instant merveilleux
Profites de la vie
et révèle en toi l'archange
qui annoncera la perfection
de ta place en ce monde
par tes battements de coeur
et ton sourire exact
Ton corps gracieux
ton teint diaphane
Ta peau délicieuse
Ton regard envoutant
et ton parfum céleste
déploies tes ailes
le paysage de nos vies est un champ de prières, lorsque s'exaucent nos rêves ;-)
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