L'énergie vibratoire des ondes de forme

Le pouvoir énergétique sur l'autre.

par somewhere » Mer 25 Avr 2012, 15:13

L'ENERGIE VIBRATOIRE DES ONDES DE FORME

1. Les ondes cosmo-telluriques
2. Les ondes de forme
3. Les ondes humaines
4. Les travaux de Lakhowsky

Depuis quelques années, nous entendons de plus en plus parler d'ondes de forme, d'ondes cosmo-telluriques, de magnétisme ou encore d'influence à distance et de projection active de la pensée. Au gré des fluctuations du mouvement New Age (qui devient cependant de plus en plus une simple mode), les articles fleurissent aussi bien dans les revues spécialisées que dans les magazines populaires; les livres sur le sujet, auparavant de diffusion modeste, commencent à se faire une petite place au soleil sur les rayons surchargés des librairies.

Nous verrons que si ces mystérieuses ondes ne sont pas la panacée vantée par quelques-uns, elles ont toutefois des applications pratiques non négligeables dans la vie courante. Mais tout d'abord, il nous faut faire un peu mieux connaissance avec ces « forces » étranges et déroutantes que sont les « ondes de forme » . Précisons dès maintenant que le terme d' « ondes » est peut-être impropre; leur nature n'étant pas définie. On les désigne également comme des « vibrations de faible énergie ». L'expression ondes de forme a été forgée en radiesthésie par MM. Chaumery et de Bélizal â partir de leurs recherches.

À quoi correspondent-elles? C'est très difficile à dire précisément. Les ondes de forme sont d'étranges phénomènes que l'on n'arrive pas (encore) à classifier. Au mieux peut on les apprivoiser pour s'en servir. À dire vrai, beaucoup de chercheurs et d'auteurs se sont penchés, au cours des siècles, sur ce phénomène. Ils l'ont constaté, l'ont étudié... mais n'ont pu en donner aucune explication qui soit unanimement acceptée. Peut-être les progrès de la physique dans les années à venir (et quand les scientifiques daigneront officiellement s'intéresser au problème) nous apporteront ils une réponse, mais pour l'heure les ondes de forme restent pudiquement voilées. Ainsi ne nous préoccuperons nous pratiquement pas de cet aspect de la question. Notre propos est de présenter un guide pratique de l'utilisation des ondes de forme dans la vie quotidienne, et nous nous en tiendrons essentiellement à cela.

Selon la théorie, ces ondes invisibles à l'oeil humain, d'origine inconnue, sont partout présentes. Comme les autres ondes, elles nous investissent, nous pénètrent dans les moindres fibres de notre corps. sans que nous en ayons conscience. Toutefois, elles ne sont pas encore, en l'état actuel de nos connaissances, clairement situées dans le spectre électromagnétique.

Tout ce qui a forme dégage de l'énergie, émet des ondes de forme qui agissent sur nous, en bien ou en mal, tant au plan physique que psychologique.

Toute onde, toute émanation de forme peut se localiser ou se re localiser dans d'autres formes. Inversement, toute forme émet une onde ou en capte d'autres.

En principe donc, toutes les formes, qu'elles soient bidimensionnelles (dessins, photos) ou tridimensionnelles (objets, meubles, maisons), émettent des ondes dites « de forme ». Personne n'a pu prouver la justesse de cette théorie (par ailleurs assez discutable), mais l'existence de ces « ondes », quelles que soient leur nature et leur origine véritables, ne semble pas devoir être mise en doute. Des expériences nombreuses (mais non reconnues officiellement, précisons le) ont montré leur existence et leur influence.
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par somewhere » Mer 25 Avr 2012, 15:15

1. Les ondes cosmo-telluriques

L'influence des ondes dites « cosmo-tellurique », qui ne sont rien d'autre que l'action conjuguée des ondes cosmiques et de courants telluriques, est connue depuis longtemps.
Depuis des millénaires, les Orientaux, en particulier les Chinois et les Japonais, pensent que des courants invisibles traversent le monde physique. Ces énergies sont à la fois positives et négatives.
Le chi positif doit s'équilibrer avec le sha négatif. Le chi doit pouvoir emprunter une trajectoire sinueuse, tandis que les lignes droites du sha doivent être détournées pour les empêcher d'être néfastes. L'art de localiser les courants et de neutraliser ceux qui sont négatifs s'appelle le Feng Shui.
Au Japon, aucun édifice important n'est bâti sans autorisation de l'expert en Feng Shui. Même les particuliers y ont recours. Selon ces spécialistes, les voies sinueuses provoquent la chance et les voies rectilignes la malchance. C'est pourquoi dans les habitations, on arrête les lignes droites en disposant des miroirs ou des paravents.
L'Europe a également connu une technique similaire d'auscultation des sols : la géomancie.
Autrefois, on ne bâtissait pas une ville sans faire auparavant appel au géomancien pour tracer un relevé des courants bénéfiques et maléfiques.

Au début des années 1920, l'Anglais Alfred Watkins remit à l'honneur ces techniques. Il pensait que des voies rectilignes avaient été tracées à l'époque néolithique (4000/2000 avant notre ère) selon un système géomantique qui visait à les conformer à certains parcours de l'énergie vitale, appelés «ondes de forme telluriques ». Tous les monuments sacrés, comme les cercles de pierres, tel celui de Stonehenge, puis plus tard les églises (souvent bâties sur d'anciens sites païens), étaient situés sur ces parcours. Ces alignements sont parfaitement visibles sur une carte d'état-major. Les sites mégalithiques de toute l'Europe suivent ce même principe. Les alignements de Carnac, en Bretagne, sont placés sur des failles géomagnétiques, comme l'ont montré des études récentes. Notre moderne géobiologie, très en vogue depuis quelques années, n'est pas autre chose qu'une réactualisation plus scientifique de ces techniques ancestrales..

L'être humain, qui est une antenne par ses bras et ses mains et une prise de terre par ses pieds, est sensible à ces courants cosmo-telluriques. Focalisées par nos capteurs biologiques, ces énergies sont assimilées par notre corps énergétique (aura) qui les répercute sur notre corps physique. La médecine holistique (non reconnue officiellement) a clairement montré que notre corps énergétique est le plus sensible : il est donc malade ou guéri avant notre corps physique. La géobiologie (comme les sciences de pointe) permet de prendre conscience de ce que les Anciens savaient parfaitement, quoique de façon intuitive, c'est-à-dire qu'il existe un lien intime, une interdépendance entre les particules et les atomes de la Terre et du Cosmos, et ceux composant notre corps. La science se teinte ainsi non de mysticisme, mais de spiritualité. Cette approche holistique a permis de faire progresser la science dans des voies ignorées auparavant. C'est ainsi que les travaux de différents chercheurs ont mis en évidence l'existence de notre corps énergétique qui est le champ électromagnétique, ou aura, de notre corps physique. Cette énergie a pu être mesurée et matérialisée sur une plaque photographique par le procédé Kirlian (haute fréquence), ou encore celui de la spectroscopie (basse fréquence), à partir des travaux du Centre international de Médecine quantique.

Les courants telluriques sont des courants magnétiques, c'est-à-dire des phénomènes vibratoires auxquels notre corps énergétique est sensible. Si un lieu est déséquilibré ou chargé d'énergie « maléfique » (à cause de la constitution ou de la configuration du terrain), cela est perçu par notre champ bio électromagnétique qui répercute l'information sur notre corps physique qui, à son tour, développe maladies ou troubles. En effet, toute la Terre est parcourue par des courants magnétiques qui se croisent en un maillage (tel le célèbre réseau de Hartmann), avec des points telluriques où les intensités sont plus ou moins fortes. Ces points créent des axes magnétiques qui véhiculent l'énergie tellurique. Celle-ci se propage ensuite en empruntant des failles géologiques ainsi que certains types de gisements, tels ceux de quartz. Le réseau couvre toute la planète, créant des zones neutres, des lieux bénéfiques à la santé et au bien-être, et des endroits « maléfiques » générateurs d'ondes nocives. Impossible donc d'y échapper. Et l'influence du champ magnétique de la Terre, de l'atmosphère et des ondes cosmiques complexifie encore le phénomène.

Normalement, les couches atmosphériques filtrent les rayons cosmiques et nous protègent des ondes électromagnétiques ultracourtes et ultra pénétrantes engendrées par le vent solaire, mais dans certains cas, ces énergies venues du Cosmos peuvent interférer avec les courants telluriques et donner naissance à des hauts lieux cosmo-telluriques dont l'intensité énergétique varie avec la position du Soleil et l'activité solaire (orages magnétiques, protubérances, etc.. Il va sans dire que les déséquilibres de la biosphère, engendrés par les activités polluantes de l'être humain (en particulier la destruction de la couche d'ozone protectrice par les gaz C.F.C.-chlorofluorocarbone -et autres produits chimiques), perturbent les réseaux énergétiques. Il en va de même dans les habitations où, en plus de la nature du terrain et de la présence éventuelle de failles ou de cours d'eau souterrains, les matériaux de construction et les flux électromagnétiques des appareils électriques et électroniques agissent sur les courants cosmo-telluriques, et peuvent générer des ondes de forme ayant un effet néfaste sur la santé aussi bien physique que psychologique (par exemple les « maisons à cancer »).
Des recherches menées depuis le début du siècle en Europe, aux Etats-Unis et dans l'ex-U.R.S.S. démontrèrent l'influence des rayonnements souterrains sur la santé de tous les êtres vivants, mais aussi sur leur comportement et leur évolution. D'une façon générale, les travaux des géobiologistes ont prouvé que l'équilibre cosmo-tellurique pouvait être perturbé par différents facteurs, géologiques, cosmiques ou humains: tempête magnétique solaire, explosion de supernova, pluie de météores ou de comètes, cours d'eau souterrain, faille géologique, poche de gaz souterraine, galerie de mine obstruée, gisement de minerais (l'uranium, tout particulièrement), mais aussi par les erreurs d'architecture, l'électrification intense, les isolations synthétiques, certains matériaux de synthèse et l'emploi excessif de masses métalliques et de béton armé.
Les points forts et faibles du réseau cosmo-tellurique semblent avoir été connus dans les anciennes civilisations qui usaient de la géomancie pour les déceler. Les circuits initiatiques empruntent souvent les points forts du magnétisme où le futur initié s'imprègne des énergies cosmo-telluriques pour développer sa puissance spirituelle ou élever son niveau de conscience.

On sait, par ailleurs, que les oiseaux migrateurs et les baleines se servent des courants magnétiques pour se diriger dans leurs migrations. Pourquoi l'être humain n'aurait-il pas une telle sensibilité ?

Les hauts lieux initiatiques sont également placés en des sites où le magnétisme cosmo-tellurique est élevé. Les anciens constructeurs de mégalithes, de pyramides et plus tard de cathédrales semblent bien avoir eu connaissance de ces phénomènes naturels que nous redécouvrons aujourd'hui. Ces connaissances anciennes nous sont parvenues sous forme de traditions et de légendes. Ainsi, les courants telluriques, la vouivre des Celtes, sont symbolisés par les dragons et les serpents. Les forces cosmiques sont représentées par des aigles ou des cerfs; et les interférences cosmo-telluriques par des légendes comme celles de saint Michel ou de saint Georges terrassant le dragon, ou encore de la Vierge foulant aux pieds le serpent.

Il s'agit, en définitive, des représentations associant ou opposant des symboles solaires ou ouraniens et chthoniens (un bel exemple nous est fourni par le Cavalier à l'Anguipède gallo-romain, qui provient d'un mythe celte plus ancien).

On sait également qu'en Chine ancienne, les dragons étaient associés aux pratiques du Feng Shui, c'est-à-dire de la géomancie. Les géomanciens recherchaient les emplacements les plus favorables à l'édification des villes et des temples. Selon le Feng Shui, les courants magnétiques telluriques sont de nature négative (yin) ou positive (yang). Le courant positif était représenté par un dragon mâle et suivait normalement les lignes des hauteurs. Les routes allant ainsi de mont en mont étaient appelées lung-mei (routes du dragon). On prenait garde, en bâtissant les cités, les voies de communication ou les édifices, à préserver l'équilibre naturel des forces. Les sites étaient donc choisis pour être en harmonie avec « les courants locaux du souffle cosmique ».

L'Anglais John Mitchell, expert en Feng Shui, travaillant sur les sites mégalithiques britanniques (qui se répartissent suivant un réseau complexe correspondant aux lignes de force des principaux courants telluriques) a montré que leur tracé représentait, une fois pointé sur une carte de Grande-Bretagne, l'image approximative d'un dragon. En reliant les uns aux autres les principaux sites mégalithiques du sud de l'Angleterre, il a pu constituer un gigantesque alignement allant du Saint Michael's Mount en Cornouailles à la côte est au nord de Lowestoft, en passant par les sites de Glastonbery et Avebury. De plus, cette ligne correspond à celle du lever du Soleil au ler mai (qui marque la fête de Beltaine ou Feu de Bel, culte solaire répandu dans toute la Celtie). En suivant cette ligne d'ouest en est, John Mitchell a constaté une étonnante concentration d'éléments associés au mythe du dragon : toponymie, anciennes sculptures, légendes locales, églises et sites consacrés à saint Michel et à saint Georges... Une telle profusion d'indications relatives au dragon ne peut évidemment pas être qu'une coïncidence. Des recherches similaires menées par l'auteur du présent ouvrage en Lorraine ont donné l'image d'un gigantesque cheval surmontant un serpent cornu (ce qui est une représentation classique de la déesse Solimara chez les Leuques, peuple celte qui habitait la région).

Héritée du monde néolithique, connue des Celtes, des GermanoScandinaves, de Rome et de Byzance, la géomancie était connue primitivement en Chine sous le nom de Hing-Fa, art des formes et des situations, dont le Feng Shui est la survivance. De l'Occident à l'Orient, la trace vivace de cette géobiologie d'origine néolithique est restée sous sa forme mégalithique. Cela est particulièrement vrai pour l'Angleterre où le réseau énergétique des pierres levées est beaucoup moins abîmé qu'en France, par exemple (où il a été détruit par les chrétiens et Charlemagne). Il s'agissait de dresser un relevé de l'état énergétique des lieux en repérant les courants cosmo-telluriques, et de remédier aux éventuelles déficiences pour déterminer les meilleures influences permettant à l'être humain de vivre en harmonie avec son environnement naturel. La géomancie servait à édifier les bâtiments, les monuments, les plans des villes et des fortifications (celles de Hanoï, tracées par des ingénieurs français furent ensuite modifiées pour correspondre aux données géomantiques), mais aussi à orienter les maisons et à déterminer l'emplacement du mobilier à l'intérieur de celles-ci.

A l'heure actuelle, la science holistique occidentale redécouvre cette sagesse et ces connaissances anciennes sous le nom de géobiologie.

Selon la nouvelle physique, un haut lieu est la résultante de trois facteurs : matière, énergie, et information. Un certain potentiel d'énergie émane du lieu, favorisant la néguentropie (c'est-à-dire l'ordre) et retardant l'entropie (le désordre). Les lieux « maléfiques » agissent inversement, engendrant troubles et maladies.

Un haut lieu cosmo-tellurique est la résultante d'un «plus » physique (physique classique : atome, proton, électron). Par exemple, une interférence géologique et géomagnétique par la présence d'un courant tellurique et celle de minéraux particuliers (quartz) qui canalisent cette énergie. Il en résulte une incidence sur le champ énergétique du lieu (physique quantique: quarks), lui-même porteur d'une certaine information (physique holistique : électron /antiélectron, matière / antimatière, gravitation /antigravitation, gravité /antigravité).G.Altenbach et B.Legrais:lieux magiques et sacrés de France

L'Univers étant isomorphe, l'approche de la géomancie et de la géobiologie ne peut être qu'holistique. C'est déjà ce que professaient les alchimistes en disant que tout est dans Tout, que tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. En d'autres termes, les influences qui gouvernent l'Univers sont nécessairement les mêmes que celles qui régissent la vie sur Terre (ce qu'a d'ailleurs parfaitement démontré l'astrophysique). L'Univers est un tout qui ne peut être étudié par morcellement, mais il est également complexe, c'est-à-dire que réel et imaginaire s'y mêlent intimement. Cela a pour conséquence que toute idée, toute pensée correspond à un acte en trouvant sa réalité dans un autre système de référence, un autre plan d'existence ou une autre dimension si l'on préfère. Là est la clef de l'action à distance ou encore de la radionique (ondes de forme) ou de la télépsychie (projection mentale d' « ondes de forme » ). Là où l'homme « mégalithique » plantait ses pierres dans la Terre, l'homme « moderne » trace des schémas émetteurs qui doivent agir en véhiculant des ondes de forme.
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par somewhere » Mer 25 Avr 2012, 15:17

2. Les ondes de forme

Nous avons vu que ce que l'on appelle «ondes de forme » sont des radiations électromagnétiques ou du moins que l'on considère comme telles, dont la longeur d'onde est inconnue.

Leur origine est muurelle, mais la théorie prétend qu'il est possible de les générer artificiellement à partir d'appareillages électroniques (radionique), de simples graphiques ou encore de structures tridimensionnelles.

Chaque objet émettrait donc des ondes de forme. Une telle idée peut paraître sinon étrange, du moins inhabituelle. Pourtant, de nombreuses expériences dans le monde entier semblent l'accréditer. Quelles que soient leur nature et leur origine, ces mystérieuses ondes de forme paraissent bel et bien exister, et avoir une influence sur la vie, bonne ou en mauvaise.

Il y a quelques décennies, à la suite de recherches sur les vibrations des plantes, Monsieur de Bélizal avait attaché au tronc d'un jeune pommier vigoureux une forme spéciale en bois de trente centimètres de long. Il avait eu soin d'inverser les polarités naturelles de la forme par rapport à la normale; en d'autres termes, il l'avait mise à l'envers. Au bout de trois semaines, le pommier avait perdu ses feuilles.

Au cours de l'été 1929, une nouvelle route avait été ouverte entre Brême et Bremerhaven. Un an plus tard, on dénombrait plus de cent accidents sur cette voie. Tous les accidents s'étaient produits au même endroit, au kilomètre 239, sur une ligne droite qui ne présentait aucune difficulté. Lorsqu'ils furent interrogés par la police, les survivants déclarèrent avoir éprouvé une grande « excitation » au moment où leur voiture arrivait au niveau de la borne, et senti une force les faire dévier vers le bas?côté. Les accidents continuaient au kilomètre fatidique et la police restait très perplexe, lorsqu'un sourcier du pays, Carl Wehrs, avança que la force mystérieuse n'était rien d'autre qu'un puissant champ magnétique créé par un courant tellurique. Pour apporter la preuve de ce qu'il avançait, il se rendit sur les lieux, une baguette de sourcier à la main. Alors qu'il arrivait à proximité de la borne, la baguette vola de ses mains. Comme arrachée par une force invisible, elle fut projetée de l'autre côté de la route, tandis que le sourcier faisait un demi-tour sur lui-même! Wehrs appliqua sa propre solution au problème. Il enterra un coffre de cuivre rempli de petits morceaux du même métal en forme d'étoiles, juste à la base de la borne. Trois semaines durant, le coffre resta là et on ne dénombra plus aucun accident. On le retira, et les trois premières voitures qui passèrent eurent un accident. Le coffre de nouveau replacé, il n'y eut plus de drames à la hauteur du kilomètre 239.

Ces exemples illustrent la puissance et l'efficacité des formes maniées en connaissance de cause, ainsi que la variété d'utilisation des ondes de forme.

Nous verrons au cours de cet ouvrage comment créer des graphiques actifs « générant » des ondes de forme, comment se protéger des radiations maléfiques, ou encore l'utilisation mentale de ces ondes, car le corps humain possède lui aussi un champ magnétique propre.
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par somewhere » Mer 25 Avr 2012, 15:24

3. Les ondes humaines

Les ondes humaines sont ce que nous appelons le magnétisme. Si l'existence d'un champ bio?électromagnétique autour des corps vivants (humains, mais aussi animaux et plantes) est aujourd'hui prouvée, force est de reconnaître que nous ignorons à peu près tout de la nature de ce que nous désignons comme « magnétisme humain ». Pour comprendre cette terminologie, il faut remonter deux siècles en arrière, à l'époque dite « des Lumières ».

Alors que Mesmer se faisait connaître par ses recherches sur les guérisons par l'imposition des mains, Gauss mesurait le champ magnétique de la magnétite ou pierre d'aimant. On fit immédiatement le lien entre ces deux phénomènes, magnétisme minéral et influence émanant des corps vivants. C'est pourquoi Mesurer choisit le terme de « magnétisme animal » (il ignorait que les végétaux étaient aussi concernés) pour désigner cette « force » connue depuis longtemps. Mais tout cela sentait trop la magie en ce siècle des Lumières, et Mesmer ne put faire reconnaître son étrange « découverte » à la science balbutiante de l'époque.

Au cours du temps, de l'Antiquité à nos jours, cette force
inconnue qui permet l'action de l'esprit sur la matière, que l'on appelle improprement les « phénomènes paranormaux », a reçu de nombreuses dénominations, comme nous le voyons sur le tableau page suivante.

Ce phénomène, quelles que soient son origine et sa nature, est perçu comme une énergie qui baigne l'Univers tout entier et toutes ses manifestations (minéral, végétal, animal, humain, structure atomique...), à des niveaux vibratoires différents.

Sa nature, si l'on en croit certaines recherches scientifiques actuelles (Émile Pinel, Jean-E. Charon, Costa de Beauregard, Boris Presman...), serait électromagnétique (corpusculaire et/ou ondulatoire). Selon les mesures effectuées par Boris Presman, sa longueur d'onde serait à une marge inférieure à celle des rayons X.

Un large champ d'investigations s'est ouvert à la science de pointe, et les recherches ont permis une avancée non négligeable en ce domaine. Peu à peu, cette force énigmatique, que nous appelons dans cet ouvrage, par simple commodité, rappelons-le, « ondes de forme » ou « champ de forme », livre ses secrets. Nous rendrons brièvement compte plus loin de ces recherches qui nous permettent de mieux cerner le phénomène, même s'il est encore très mystérieux.

DIFFÉRENTES DÉNOMINATIONS DES PHÉNOMÈNES PARANORMAUX
___________________________________________________________
Chine antique Énergie vitale.
Inde ancienne Prâna.
Polynésie, religion Huna Mana.
Celtie, Gaule Fleuve de Vie.
Paracelse Munis ou Fluide astral.
J.-B. Van Helmont Magnale Magnum.
Mesurer Magnétisme animal.
Reichenbach Force Odique.
Keely Force Motrice.
Blondlot Rayon N.
L.-E. Eeman Force X.
Radiesthésie Force rhabdique ou éthérique.
Radionique Onde de forme ou champ de forme.
Parapsychologie soviétique Énergie bioplasmique.
Parapsychologie tchèque Énergie psychotronique.
É. Pinel Champ unitaire causal.
J.-E. Charon Éons.
Physique quantique d'avant-garde Ondes quantiques.

_______________________________________________________

Nous savons déjà qu'il est inhérent aux êtres vivants (magnétisme animal), qu'il se manifeste également en dehors d'eux (ondes de forme), qu'il prend diverses apparences (ondes cosmotelluriques, télépathie, télépsychie ...), et qu'il pourrait être véhiculé par les formes, que celles-ci soient physiques ou mentales.

Les travaux modernes sur le magnétisme ont commencé avec Hector Durville. Cette théorie du magnétisme avait déjà été défendue par Lucrèce et son maître Épicure, par Démocrite, Platon, les pythagoriciens et Descartes. Cuvier, Lord Kelvin (avec ses atomes tourbillons), Félix Le Dantec, Bohn et Lartigue s'en sont également faits les défenseurs. Cuvier écrivait :

L'être vivant est un tourbillon à direction constante dans lequel la matière est moins essentielle que la forme.

Ces tourbillons moléculaires, conformément aux théories de Helmholtz, Maxwell, Poincaré, Berthelot, etc., peuvent subir des attractions et des répulsions; ils peuvent entrer en vibration. Or, si l'on en croit certains, une propriété essentielle de ces tourbillons serait de contenir le « principe directeur de la vie » , la « force vitale » des Anciens. A ce sujet, Lartigue écrivait:

Tous les tourbillons sont doués de la propriété de donner naissance à d'autres tourbillons plus petits, spécifiquement semblables au tourbillon générateur et, comme lui, susceptibles de s'accroître en masse et en énergie aux dépens de la masse et de l'énergie du milieu ambiant.

Il résulte de cette théorie, proche de la géométrie fractale actuelle, une émission possible de radiations. Ce rayonnement serait biologique, du moins en ce qui concerne les êtres vivants. Si les molécules sont électriquement chargées, elles vont créer un champ magnétique qui agira sur les ions (atome, groupe d'atomes, voire molécule, portant une charge électrique) du milieu extérieur et pourra ainsi leur communiquer un mouvement. Bohn a repris cette hypothèse

Les particules constitutives des substances organiques seraient douées de mouvements vibratoires. Lorsqu'une molécule protoplasmique vibre dans le voisinage de substances d'une constitution appropriée, elle leur communique son mode de vibration et le mode d'arrangement d'atomes qu'elle a elle-même. Ce serait là le secret de l'assimilation, propriété caractéristique des êtres vivants.

Il serait donc ainsi possible d'agir à distance en utilisant ce que les radiesthésistes appellent l'agent éthérique (et que nous appelons dans cet ouvrage ondes de forme ou champ de forme), et qui serait, comme nous l'avons vu, de nature électromagnétique. Nous retrouverions ainsi chez l'être vivant le principe d'émanation par la forme d'une force toujours présente et contenue. Chez l'être humain, cette force serait représentée par la volonté, la motivation ou le désir qui sont les moteurs de l'action. L'onde humaine, ou magnétisme, latente en chacun et chacune de nous serait activée par la volonté, la motivation ou le désir (selon les individus), permettant d'utiliser un potentiel inconnu du cerveau humain pour agir à distance, aussi bien dans l'espace que dans le temps (mais cette « force » se propagerait en un temps nul, quelle que soit la distance). Voilà une hypothèse qui ouvre de très larges perspectives.
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par somewhere » Mer 25 Avr 2012, 15:35

4. Les travaux de Lakhowsky

Dans les années 1920, un physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, a été l'un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux. Il fut en quelque sorte le précurseur de la géobiologie scientifique moderne. À travers ses livres et de nombreuses communications à l'Académie des sciences, qui parurent dans les journaux scientifiques, il construisit sa théorie selon laquelle les rayonnements cosmo-telluriques avaient une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.

Ses recherches commencèrent avec l'étude de l'instinct animal. On s'est toujours interrogé sur l'incroyable faculté d'orientation des pigeons voyageurs, ou sur la capacité de certains oiseaux à s'orienter dans l'obscurité.

Un autre cas étonnant est celui des lemmings des régions scandinaves, qui émigrent des montagnes de Norvège vers la mer, à l'approche de l'hiver, par groupes de plusieurs milliers, en suivant toujours la ligne droite, même s'ils doivent contourner des obstacles. Comment ces animaux trouvent-ils leur chemin ? Les naturalistes n'ont jamais su répondre à cette question troublante, sinon en évoquant un mystérieux « instinct »

Lakhowsky ne se contentera pas de cette pseudo-explication et il va développer une théorie très ingénieuse. Un jour, à Paterna, près de Valence en Espagne, il assista à un phénomène de la plus haute importance. Des pigeons avaient été lâchés, mais les oiseaux décrivaient des cercles en l'air, sans réussir à trouver leur direction. Or, à peu de distance se trouvait une station radiotélégraphique en train d'émettre. La désorientation des volatiles cessa dès que la station eut terminé ses émissions. L'expérience fut répétée à plusieurs reprises avec le même résultat. Cette observation fut le point de départ de l'explication avancée par Lakhowsky.

Des recherches scientifiques ultérieures ont montré que la vie exploite l'électricité et le magnétisme depuis longtemps.

Par exemple, on sait aujourd'hui que les racines des plantes possèdent, au niveau de la coiffe (extrémité de la racine), une partie sensible à la gravité leur permettant de pousser dans le bon sens pour s'enfoncer dans la terre afin d'y trouver de la nourriture.

Les fourmis, quant à elles, ont leur organe de Johnston, constitué de petits canaux crâniens remplis de particules sensibles aux champs magnétiques terrestres, qui leur permet de se situer par rapport à ces champs magnétiques et de s'orienter.

Il existe en chaque être vivant des champs électriques extrêmement complexes et subtils qui imprègnent les tissus, les muscles, les os, les cellules. Ces champs interfèrent avec ceux qui sont présents dans l'environnement. L'existence de ces champs électriques a été découverte par la science officielle durant les années 1940-50. Ils sont présents dans les êtres humains mais aussi chez les animaux, les végétaux, et également dans le protoplasme. On les appelle les champs V, des champs bioélectriques et électrodynamiques qui sont caractéristiques des êtres vivants. La Terre elle?même est un réseau inextricable d'énergie électrique, et
son champ magnétique est rendu encore plus complexe par les minéraux, l'eau, les roches, et aussi par les structures artificielles humaines. Tous ces champs interagissent d'une façon extrêmement complexe, et les formes vivantes sont affectées physiquement et mentalement par ces interactions.

On sait également que les poissons étaient autrefois anatomiquement bâtis pour agir comme des détecteurs de charges de dispersion. La grande majorité des requins, raies et chiens de mer possède des petites ouvertures cutanées de canaux, disséminées sur la tête et autour des mâchoires. Ces canaux se regroupent sur le nez, sous l'oeil et l'extrémité de la mâchoire inférieure, et forment ainsi des amas cellulaires sensoriels que l'on appelle les ampoules de Lorenzini, du nom de l'anatomiste italien qui les décrivit au siècle dernier. On s'est longtemps interrogé sur l'utilité de ces capteurs, et il fallut attendre 1962 pour découvrir que l'on avait affaire à l'une des structures les plus électrosensibles jamais trouvées.

Les expérimentations ont mis en évidence la capacité de la raie bouclée d'être sensible à une variation de voltage de 0,01 microvolt, ce qui signifie qu'elle peut détecter un champ électrique plusieurs milliards de fois plus faible que celui produit par le courant domestique que nous utilisons.

Les poissons marins engendrent un courant et des gradients de potentiel de basse fréquence, alors qu'ils se déplacent dans l'eau salée et que celle-ci traverse leurs branchies. Ces champs sont détectables à distance, comme l'a prouvé une série d'expériences portant sur la roussette. Celle-ci peut déceler un carrelet enfoui sous plusieurs centimètres de sable, la nuit, en eau trouble. On aapporté la preuve que les repères de la roussette sont bien de nature électrique, en enrobant des carrelets dans de l'agar-agar (une gélatine à base d'algue) qui laisse passer le courant électrique mais dissimule le poisson à la vue, à l'ouïe et à l'odorat. Les expériences ont clairement montré que les roussettes localisaient facilement les poissons isolés dans le bloc de gélatine, mais qu'elles ne décelaient pas la présence de morceaux de carrelets morts placés dans les mêmes conditions : les roussettes n'étaient attirées que par le champ électrique généré par les poissons vivants. Par la suite, on découvrit qu'une feuille de polyéthylène avait la propriété de protéger le carrelet vivant de la voracité des roussettes. La Marine américaine a mis à profit cette découverte pour tester des protections contre les requins, constituées de sacs en polyvinyle dans lesquels les marins naufragés peuvent se glisser. Une autre constatation s'est dégagée des expériences menées sur les roussettes : quand un poisson traverse le champ magnétique terrestre en nageant d'ouest en est, il joue le même rôle que le disque de cuivre de Faraday du premier générateur électrique: il engendre un courant électrique qui traverse le poisson, et induit un champ électromagnétique détecté par ses ampoules de Lorenzini. C'est-à-dire que la roussette, en se déplaçant, acquiert un compas électromagnétique qui lui permet de s'orienter non seulement par rapport à ses propres détecteurs, mais aussi en fonction des champs produits par les courants océaniques qui interfèrent avec le champ magnétique terrestre.

De nombreux animaux agissent de même. Ainsi, en 1975, Richard Blackmore, de l'université du Massachusetts, découvrit que les bactéries possèdent une sensibilité magnétique, et qu'elles se servent de la déclinaison du champ magnétique terrestre pour se diriger, luttant contre les mouvements aléatoires des molécules d'eau autour d'elles et se dirigeant vers la riche vase des fonds. C'est grâce à cette faculté que les micro-organismes en bâtonnets se déposent toujours en direction du nord magnétique sur les lames des microscopes.

Grâce au microscope électronique, on a pu montrer que ces micro-organismes contiennent des microcristaux de magnétite, matériau ferreux sensible aux champs magnétiques. De semblables magnétites ont, depuis, été découvertes dans l'estomac des abeilles, dans les os du crâne de certains poissons migrateurs, etdans les sinus et la partie supérieure des coussinets plantaires des chats. C'est également le cas pour les pigeons qui possèdent entre la paroi du crâne et le cerveau, sur le côté droit de la tête, un infime dépôt de ferritine magnétique, qui est une protéine capable de fixer le fer.

Des recherches menées à l'université de Lund, en Suède, ont encore montré que même si les oiseaux naissent dotés de ce compas naturel, ils doivent l'étalonner eux-mêmes. Des oisillons gobe-mouches noirs ont été placés, durant les douze premiers mois de leur vie, dans des nids fermés garnis de bobines de Helmholtz faisant subir au champ magnétique une rotation de 90°, de telle sorte que le nord magnétique était devenu pour eux l'est.

Lorsqu'on les replaça sous l'influence magnétique naturelle, ils ignorèrent les repères visuels et s'envolèrent dans une direction perpendiculaire à leur route migratoire traditionnelle, conformément au champ magnétique déplacé dans lequel ils avaient été tenus au début de leur existence. Ils n'étaient plus capables de s'orienter correctement. Sans intervention humaine, les malheureux oiseaux seraient morts quelque part dans les régions glacées de l'Atlantique Nord (les gobe-mouches nidifient en Europe du Nord, mais ils émigrent pour passer l'hiver en Afrique tropicale).

Ces quelques exemples nous montrent à quel point l'utilisation du magnétisme est une chose naturelle pour beaucoup d'animaux. Pourquoi n'en irait-il pas ainsi pour l'être humain?

On sait aujourd'hui, grâce entre autres aux travaux du professeur Yves Rocard, que les êtres humains perçoivent le champ magnétique terrestre (ce qui explique d'ailleurs les mouvements de la baguette de sourcier et les oscillations du pendule). On sait aussi que les êtres vivants possèdent un champ bio?électromagnétique, que l'on appelle l'aura.

Cependant, la théorie de Lakhowsky va plus loin: selon elle, tous les êtres vivants non seulement émettent des radiations, mais sont également capables, à de très rares exceptions près, de recevoir et de transmettre des ondes. La faculté d'orientation des animaux serait donc le résultat de l'émission et de la réception des ondes électromagnétiques et des ondes cosmiques.

Ainsi, avant l'heure, Lakhowsky avait prévu l'existence de l'aura (scientifiquement parlant) et la faculté de perception du champ magnétique. Continuant sur sa lancée, il décrivit la cellule, élément constitutif des tissus animaux et végétaux, comme un circuit oscillant naturel doué d'une longueur d'onde déterminée et très courte.

De fait, la cellule est constituée du protoplasme entouré de la membrane cellulaire. Dans le protoplasme se trouve le noyau qui est formé d'un filament tubulaire contenant le liquide conducteur enveloppé dans une substance chromatique isolante. Voilà qui ressemble fort au circuit oscillant de Hertz. C'est un véritable circuit électrique doué de self-induction et susceptible d'osciller et de résonner à une fréquence très élevée.

La bobine d'induction est constituée par la spire que représente le filament du noyau, le condensateur est formé par la capacité entre les deux extrémités du filament lui-même.

Lakhowsky en déduit que la vie est constituée par des oscillations de cellules, et donc qu'elle naît de la radiation puis qu'elle continue à être liée à la radiation. C'est l'harmonie des vibrations cellulaires qui assure des fonctions vitales normales. Que survienne un déséquilibre de ces vibrations, et c'est la maladie. Ainsi, lorsque pour une raison ou une autre l'isolement du filament du noyau est détruit, il n'est plus possible à la cellule d'osciller, et c'est la mort.

La fièvre, phénomène encore mystérieux, si courante au cours des maladies, trouve également une explication dans la théorie de Lakhowsky, à travers l'action des microbes pathogènes. Ceux-ci, également constitués d'une seule cellule émettrice, et en contact avec les tissus de l'organisme où ils logent, provoquent ce que Lakhowsky appelle la « guerre des radiations » avec les cellules saines. En raison de la résistance opposée par le filament du noyau, celle-ci varie par suite de causes morbides, et il se produit des variations de température donnant la fièvre et l'hypothermie (on sait qu'un courant traversant un conducteur développe de la chaleur à cause de la résistance qu'il rencontre... et c'est le même phénomène qui se produirait dans le corps).

Pour Lakhowsky, les êtres vivants sont donc sensibles aux radiations extérieures. Certaines études ont montré une corrélation entre les éruptions solaires (taches solaires) et l'activité biologique, sans pouvoir l'expliquer. Partant de ces relations entre les radiations et les maladies, Lakhowsky s'est attaché au problème du cancer. Ses travaux ont montré que les terrains constitués d'argiles plastiques et de marnes peuvent favoriser le développement des cancers. Des statistiques dressées dans les années 1920, pour diverses villes françaises, anglaises, suisses et italiennes, ont montré que la proportion la plus forte de cancers était celle où le terrain était formé d'argiles, de marnes et de minerai de fer (le taux le plus élevé revenait à Nancy avec 1,95 cas pour mille habitants); alors que la plus faible était celle où le terrain était constitué de sables et de graviers (le meilleur emplacement étant celui de Genève, avec 0,5 cas pour mille habitants). La raison en est simple : les terrains conducteurs imperméables aux ondes, c'est-à-dire ceux constitués d'argiles, de dépôts carbonifères et de minerai de fer, donnent des courants intenses par suite de réflexions et de diffusions qui se créent à la surface du sol, provoquant un nouveau champ de radiations interférentes. L'eau est isolante quand elle est privée de sels (ce qui est le cas quand elle est courante ou quand elle séjourne sur des terrains sablonneux, comme à Genève); ou au contraire conductrice si elle est riche en sels (comme c'est le cas à Nancy) : elle serait ainsi cause d'une densité faible ou forte de cancers. Bien sûr, ces facteurs ne sont pas les seuls à être en cause, mais ils constitueraient, selon Lakhowsky, un terrain plus ou moins propice à l'apparition de la maladie.

Lakhowsky a transposé ses hypothèses de la théorie à la pratique. Après avoir obtenu de bons résultats sur des plantes atteintes du cancer provoqué par le Bacterium tumefaciens, et sur des animaux, il est passé aux applications cliniques dans divers hôpitaux. Dans ce but, il a fait usage de circuits oscillants, ceux?ci étant constitués d'une spire de fil métallique isolé placée autour du sujet à traiter. Ces circuits peuvent être réalisés sous forme de ceinture, de collier ou de bracelet. Le calcul de longueur d'onde et de fréquence d'un circuit oscillant est très simple. La longueur d'onde est égale au diamètre du circuit divisé par deux (soit le rayon). La fréquence est égale à la vitesse de la lumière (c) divisée par le rayon (R). Par exemple, pour un circuit oscillant de trente centimètres de diamètre:

La longueur d'onde sera égale à trente centimètres (diamètre) divisés par deux, soit quinze centimètres (c'est-à-dire le rayon).
La fréquence sera égale à 300 000 000 m/s (c, vitesse de la lumière arrondie) divisée par 0,15 (rayon en mètre), soit 2 GHz, c'est-à-dire 2 000 000 000 de vibrations par seconde.
Le célèbre collier Lakhowsky est un circuit oscillant ouvert, c'est-à-dire que le cercle n'est pas fermé (comme un torque gaulois). Les métaux constituants sont l'argent, le cuivre, l'étain, le fer, le nickel, l'or et le zinc.

Le principe en est fort simple : l'ensemble vibre parce qu'il crée un « plus » et un « moins » en étant ouvert (c'est aussi le principe des éclateurs, dont nous parlerons plus loin), et communique sa vibration.

La théorie de Lakhowsky voulant que la maladie soit un déséquilibre oscillatoire, le circuit en vibrant produit une onde d'une certaine longueur (égale, comme nous l'avons vu, au rayon du circuit) et d'une certaine fréquence (c/R), qui agit par effet de résonance en venant suppléer l'oscillation. L'onde engendrée correspond à une énergie vibratoire naturelle. En simplifiant à l'extrême, n'importe quel morceau de métal tordu selon le circuit de Hertz peut devenir un appareil vibratoire.

Travaillant toujours sur le cancer, Georges Lakhowsky a mis au point un appareil devant être fixé au lit du malade, et appelé par lui pour cette raison « lit-radio-cellulo-oscillateur ».

Cet appareil a deux lampes triodes placées symétriquement qui sont alimentées par du courant alternatif, tant pour la tension de la plaque que pour le chauffage des filaments. Les deux grilles sont au filament. L'accouplement est rendu variable par une rotation de l'une des spires. Les ondes produites s'étendraient sur la gamme de deux à dix mètres.

Selon le professeur Sordello Attilj, de Rome, des améliorations et même des guérisons furent obtenues sur des malades (dont des cas de cancer généralisé) de l'hôpital San Spirito de Rome, grâce aux appareils de Lakhowsky.

Georges Lakhowsky a condensé sa pensée dans ce triple principe:

La vie naît de la radiation
Est entretenue par la radiation
Est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire.
Avec les travaux de Lakhowsky, les ondes de forme sont passées du domaine de la magie à celui de la science.

Aujourd'hui, la recherche continue même si elle reste officieuse, et nous avons inventé le terme de < parapsychologie » (pourtant très impropre) pour ces études. Alors qu'ils restent parfois en marge de la science officielle, certains chercheurs travaillent sur cette « nouvelle » science, et permettent de lever un peu plus le voile du mystère, comme nous allons le voir en survolant brièvement certaines recherches et théories modernes.

Extrait du livre L'énergie vibratoire des ondes de forme de Jean-Paul Ronecker, aux éditions Dangles
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